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Arrêtez de vous plaindre, vous êtes en danger de mort 

  • Arrêtez de vous plaindre, vous êtes en danger de mort 

C’est scientifiquement prouvé : Se plaindre vos expose à un danger de mort
 
Ce réflexe presque inné en chacun de nous aurait des effets les plus néfastes sur nous et on encourrait selon des chercheurs américains qui se sont penchés sur la question, un danger de mort!
C’est les travaux du psychiatre américain Steven Parton qui ont mis à jour cette nouvelle vérité scientifique. Le psychiatre explique que plus une pensée est utilisée, plus on y revient facilement et régulièrement, car le chemin parcouru par cette idée a été enregistré par notre cerveau.
Nous avons dans notre cerveau une multitude de synapses séparées par une fente synaptique. Chaque pensée déclenche la production d’un produit chimique qui s’écoule à travers cette fente afin de relier les synapses entre elles. « Quand vous avez une pensée, une synapse crée un pont jusqu’à une autre et lui envoie un signal électrique. Ce dernier transporte et transmet l’information à laquelle vous pensez« , détaille le scientifique.
Chaque fois que cette charge électrique se déclenche, les synapses se rapprochent pour faciliter la vitesse de transfert. C’est comme si des chemins de terre se transformaient en autoroutes au fur et à mesure que des véhicules les empruntaient. Par conséquent, les mailles de ce réseau synaptique à grande vitesse forment tout simplement notre personnalité (intelligence, aptitude, compétences) !
Ainsi, nos pensées sont à l’origine d’un remodelage des circuits synaptiques en temps réel dans notre cerveau. Les pensées influent donc vraiment sur la réalité!
Pourquoi se plaindre tue ?
Si nous éprouvons souvent de la colère ou de la tristesse, les circuits synaptiques adéquats se renforcent car ils sont de plus en plus empruntés. Or, ces émotions désagréables créent du stress que l’on peut mesurer par le taux de cortisol (son hormone) dans notre organisme.
Ce cortisol a des effets très négatifs à moyen terme : baisse des défenses immunitaires, augmentation de la pression artérielle, maladies cardiaques, gain de poids, réduction de la longévité… mais aussi : blocage des capacités d’apprentissage, dégradation de la faculté de mémorisation, etc.
Que faire ?
On peut penser à juste titre qu’il suffirait d’arrêter de se plaindre pour et augmenter la « dose » de pensées positives pour remédier à la situation mais il n’en est rien.
En effet,  il s’avère que notre environnement influe sur notre mode de pensée. Les humains, sont des créatures sociales et la présence de neurones miroirs (outil de l’empathie) dans notre cerveau le confirme. Nous imitons nos semblables et nous nous imprégnons de leur « mode de pensée » et de leurs émotions.  Ainsi, on ne pourra devenir un super-optimiste que si nous sommes au contact de personnes optimistes.  Donc, si nous entendons des plaintes à longueur de journée, nous plongerons inéluctablement vers le pessimisme…
 
Ceci dit, voici une liste de recommandations qu’on pourrait tous suivre pour prolonger améliorer notre qualité de vie et par la même occasion notre longévité :

  • S’entourer de personnes positives
  • Prendre conscience de notre mode de pensée (la méditation peut être un moyen d’y parvenir)
  • Pratiquer la gratitude

 
 
 
 

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