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A travers l’Histoire et depuis ces premiers jours sur terre l’Homme était au rendez-vous avec le stress, au départ nos ancêtres vivaient des moments de pression , soit pendant les heures de chasse ou pendant les combats. Mais avec l’augmentation du nombre des humains sur terre et les changements rapides et profonds qui caractérisent aujourd’hui notre vie, tous les ingrédients sont réunis pour offenser un surcroît du stress.
Toutefois, la science nous apporte des solutions pour gérer et agir avant que le stress devienne chronique et affecte notre santé. Dans ce sens deux remèdes trop souvent oubliés : trouver du plaisir et donner du sens à nos vies et les exercices de sensorialité.
Un rythme effréné dans un monde hyper connecté ou nous sommes victimes du stress ambiant. Cependant ne sommes-nous pas aussi nos propres bourreaux ? Nous connaissons pourtant tous les moyens intérieurs pour nous apaiser et cela débute par arrêter de lutter.
Selon certains spécialistes du stress les nouvelles technologies nous ont au départ soulagés pour finir par accélérer le temps, c’est qui nous rend hyperactifs, notre pression augmente et par conséquences les nombre victimes de burn out – « carbonisé » en anglais –, un syndrome d’épuisement et de dépersonnalisation dû au stress a augmenté d’une façon considérable.
Par exemple la connexion continue déforme et appauvrit les liens sociaux,
empêche le travail en équipe et la vraie communication, ce qui nous rend dépendants d’émotions superflus.
Reste à savoir que la complexité et l’accélération du monde ne sont pas les uniques raisons puisque nous ne sommes pas purement stressés par les faits, mais par l’anticipation, toujours négative, dans laquelle ils nous précipitent d’autre part, aux tensions physiques et psychologiques s’ajoute le sentiment d’être impuissant.
C’est simple, nous sommes amenés à faire faire taire les bavardages intérieurs et les émotions négatives qui nous envahissent, alors on est conduit à balayer les principales idées reçues sur le sujet.
Les chercheurs et les spécialistes en la matière ont montré qu’il n’y a pas de « bon » et de « mauvais » stress. Certains ont différencié un stress négatif, porteur de tension et d’un stress positif vecteur de bien-être. La distinction se fait généralement entre le stress pointu, qui mobilise nos ressources, et un stress chronique, qui les épuise. Pour le premier il s’agit d’une tension de tout l’être en vue de répondre rapidement à une situation précise au moment présent.
Le stress est alors chronique et épuise nos défenses tant physiques que psychiques, jusqu’à la maladie ou la dépression.
Un vrai ennemi à combattre !
Les recherches et la science ne cesse de nous surprendre, certaines théorie approuvent que sans stress, nous faiblissons notre disposition d’adaptation au monde.
Comme un concret exemple l’exercice physique ou la tension sur le corps conserve la vivacité, il réforme la souplesse psychique, comportementale et émotionnelle.
Alors il est conseillé d’apprendre à agir de façon réfléchie au lieu de gaspiller son énergie à combattre le stress à travers un moyen faisable c’est de ne plus le subir et de ne pas être dans la réaction permanente.
À première vue l’idée est attrayante, mais malencontreusement elle est quasiment impossible dans sa réalité pour des simples raisons, tout d’abord le stress est, par définition, un événement soudain, qui ne survient que dans le présent, c’est la tuile que l’on n’avait pas vue venir et qui nous tombe dessus. La nature humaine envisage spontanément le pire, une disposition à pressentir le négatif nous a permis de survivre.
Passer son temps à précéder d’éventuels faits stressants enfante déjà du stress, alors il est Inutile de s’en ajouter…
La meilleure solution est de rester rationnel et d’être dans la réalité du présent par l’évaluation des priorités, de faire des choix et d’accepter certains renoncements et être plus philosophes