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Le ministre des Finances, Slim Chaker, a annoncé que son département étudie actuellement la question de la libéralisation de l’assurance automobile.
« Le secteur de l’assurance a déjà fait l’objet d’un travail sérieux entre les différentes parties concernées, mais il doit être actualisé et complété. Aujourd’hui, le point de blocage principal c’est tout ce qui est risque automobile. Il y a, bel et bien, des pertes énormes sur la branche automobile », a-t-il indiqué, dans une interview accordée à La Presse Business.
D’après Slim Chaker, pour trouver une solution adéquate à ce problème, une réflexion a été engendrée au sein du ministère des Finances, en collaboration avec la Ftusa (Fédération tunisienne des sociétés d’assurances) et le CGA (Comité général des assurances). « Notre département a demandé, il y a deux semaines, à la Ftusa et à la CGA, d’étudier la possibilité de libéraliser le secteur de l’assurance automobile. Les sociétés d’assurance nous demandent d’augmenter le prix de l’assurance automobile. Mais notre département a refusé cette proposition et refuse aussi que cela reste tout le temps administré », a-t-il souligné.
M.Chaker a, en outre, précisé qu’aujourd’hui en Tunisie, il y a suffisamment d’assurances, donc le secteur est concurrentiel et peut être compétitif. « Pour cela, nous avons décidé de libérer les prix d’assurance automobile. J’ai demandé à la Ftusa et au CGA d’étudier cette question, mais on va aller, petit à petit, vers la liberté des prix chez les différentes assurances », a-t-il ajouté.
Lina.B
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