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Fatma Triki et khdija Ben Guenna, allez respecter les terroristes chez eux, ils se feront un plaisir de vous accueillir ! Vous ne valez pas un cheveu de nos soldats!

  • Fatma Triki et khdija Ben Guenna, allez respecter les terroristes chez eux, ils se feront un plaisir de vous accueillir ! Vous ne valez pas un cheveu de nos soldats!

Ces deux journalistes, ont oublié aujourd’hui de parler de la tentative de viol de notre territoire et de notre souveraineté par des rats d’égouts pour s’attaquer à nos soldats qui ont pris un selfie avec les corps abattus de ces Daechiens. Elles les ont même traités de bétail. Mesdames laissez-moi vous dire qu’on n’a aucun respect pour ces salops et laissez-moi vous dire que pire, on a savouré avec délice les photos de leurs cadavres puants et sales joncher le sol sous les pieds de nos soldats. C’est ça l’islam pour vous? L’islam veut qu’on enterre les morts, on ne les jettera à la poubelle ne vous inquiétez pas, ils auront droit je vous rassure, à un trou même si  notre belle Tunisie, sera salie par leurs cadavres, les avoir même sous notre terre est une honte. Pour nous ceci s’appelle l’ennemi. Vous voulez respecter ceux qui viennent pour violer nos femmes et tuer nos enfants? C’est de ces vermines que vous avez pitié ? Non mais je rêve, allez les respecter chez eux si vous voulez, ils vous accueilleront les bras grands ouverts et vous aurez la chance de les respecter nuit et jour ne craignez rien, ils se feront un plaisir de vous aider ! Sinon, je vous informe que vous ne valez pas un cheveu de ces braves hommes que vous avez traité de bétail, nos soldats sont braves et courageux, ils mènent le combat avec le cœur et n’ont pas peur de mourir pour nous défendre. D’habitude nous respectons même une fourmi mais eux non, n’attendez pas de nous qu’on leurs offre ce privilège. Et mesdames, balayez devant vos portes avant d’oser parler de respect et d’attaquer nos soldats à qui vous avez manqué de  respect. Vous ne respectez pas nos lions de leur vivant, vous voulez qu’on respecte vos sales rats ?
Par Jihène Sayari
 

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