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Avez-vous déjà entendu parler du ‘pocketing’ ? Il est possible que vous ayez été confronté à cette situation sans même le réaliser. Le ‘pocketing’ est une tendance amoureuse où l’un des partenaires choisit délibérément de garder leur relation secrète vis-à-vis de leur entourage, un comportement nocif pouvant entraîner de sérieux problèmes.
En général, lorsqu’on est amoureux, on a envie que tout le monde le sache ! Cependant, pour certaines personnes, le proverbe ‘vivons heureux, vivons cachés’ résume mieux leur approche des relations amoureuses. C’est précisément ce qu’on appelle le ‘pocketing’. Après le ‘cookie jarring’, qui consiste à garder un partenaire en réserve, voici le ‘pocketing’. L’appellation provient du mot anglais ‘pocket’, qui signifie ‘poche’, car il s’agit littéralement de cacher son partenaire.
Le partenaire est ainsi tenu secret, que ce soit vis-à-vis des amis ou de la famille. Sur les médias sociaux, il n’y a aucune trace de cette relation, aucune mention dans les publications, et surtout, aucune manifestation publique d’affection. La personne qui pratique le ‘pocketing’ est perçue comme célibataire par son entourage, et peut même choisir des lieux de rencontre pour éviter de croiser des connaissances. Ce comportement nocif peut causer de graves préjudices à la personne qui en est victime.
Le ‘pocketing’ et ses répercussions sur l’estime de soi
Être maintenu dans l’ombre par son partenaire peut profondément ébranler l’estime de soi. Cela peut donner l’impression de ne pas être à la hauteur, de gêner son partenaire qui éprouverait de la honte à présenter la relation, ou encore que la relation n’est pas prise au sérieux, que le partenaire souhaite continuer à vivre comme s’il était célibataire pour fréquenter d’autres personnes.
Dans tous les cas, il est essentiel d’entamer une conversation sincère avec votre partenaire à ce sujet afin de comprendre les raisons derrière le ‘pocketing’. Est-ce une stratégie pour préserver la relation ? Une peur cachée de l’engagement ? Si vous souhaitez obtenir des réponses, il est impératif de favoriser une communication ouverte ! »