- société
Habituée à un ensemble de règles très fixes : être passive, se soumettre aux autres, respecter l’autorité masculine, craindre la violence des hommes, ….un grand nombre de femme continuent à subir une rigide éducation, malgré les avances réalisés en matière d’émancipation et d’égalité , on continue à éduquer les jeunes femmes à devenir les objets du désir masculin. On ne les autorise pas et on ne leur apprend pas à éveiller leur désir pour le corps des hommes
Selon des statistiques publiés récemment, près de40% des femmes déclarent avoir souvent souffert d’une absence ou insuffisance de désir
Pour remédier à cette éducation, la féministes stipulent que la femme doit réaliser sa révolution sexuelle, se redécouvrir et transformer son rapport avec son corps. Toute femme doit défendre son autonomie financière, son libre-arbitre mais aussi sa liberté sexuelle.
Un nouveau féminisme est né afin de développer cette éducation au plaisir encore trop rare à l’école et dans les familles, ce courant de féminisme dit positif émerge sur Internet. Des jeunes diplômées créatives, qui distillent avec humour des conseils ludiques, pratiques et décomplexés, fondés aussi bien sur la théorie que sur l’expérience personnelle.
Sur YouTube, la chaine de l’Américaine Laci Green par exemple compte plus d’1,5 million d’abonnés. Hannah Witton,américaine aussi, est suivie par 250.000 abonnés.
À l’aise avec leur corps, elles dépoussièrent le discours sur la sexualité, qu’elles considèrent comme une source d’empowerment.