- société
L’Institut Philippe-Pinel de Montréal a récemment réalisé une étude sur la nature des fantasmes sexuels de la population générale. Un sujet qui devient de moins en moins tabou.
D’où 1517 adultes (799 hommes et 718 femmes; âge moyen de 30 ans) québécois ont répondu à un questionnaire décrivant leurs propres fantasmes sexuels, en plus de décrire en détail leur fantasme favori.
Résultats, très peu de fantasmes peuvent être considérés comme statistiquement rares, inhabituels ou typiques. Les hommes ont plus de fantasmes que les femmes.
Une proportion importante de femmes (30 % à 60 %) expriment des fantasmes de soumission extrême (être attachée, être tapée sur les fesses, être forcée à avoir une relation sexuelle, etc.).
Contrairement aux hommes, les femmes, ne souhaitent pas concrétiser leurs fantasmes. Tandis que les hommes, en majorité, voudraient bien passer à l’acte.
La présence du partenaire amoureux est sensiblement plus grande au sein des fantasmes féminins qu’au sein des fantasmes masculins.
Femmes Maghrébines