
- société
Une fois n’est pas coutume, je ne parlerai de la liberté d’expression en Tunisie, mais dans les pays occidentaux qui se disent à historicité démocratique.
Il y’a quelques années, les Etats-Unis ont condamné un soldat à 50 ans de prison pour avoir divulguer des secrets sur l’armée américaine à WikiLeaks, autant dire une condamnation à mort.
D’autres gouvernements comme le gouvernement français interdisent les manifestations pro-palestiniennes sous les pressions du lobby sioniste.
On découvre, alors, que même chez les pays qui se perçoivent comme des paradigmes de démocratie et de liberté d’expression, celle-ci n’est jamais totale et que chaque pays possède ses lignes rouges et sacrosaintes à ne pas dépasser. Pourtant, on ne peut pas se targuer de soutenir la liberté d’expression ailleurs alors qu’on ne la garantie pas, en totalité, chez soi.