- société
Par l’allaitement maternel, le transfert des facteurs immunitaires de la mère à l’enfant, qui avait déjà commencé in utero, continue après la naissance. Ces facteurs maternels protègent l’enfant contre les infections et l’aident dans le développement de la muqueuse intestinale, la microflore intestinale et à développer ses propres défenses.
En en effet, les bébés allaités ont un risque plus faible d’entérocolite nécrosante, une sensibilité réduite à la gastro-intestinal, aux problèmes respiratoires et à d’autres infections que les bébés nourris au biberon.
Une récente recherche publiée dans la Clinique et Translationelle Immunologie Journal affirme que les concentrations des facteurs immunitaires dans le lait maternel sont loin d’être stable. « Le lait maternel est un fluide complexe et dynamique, avec une composition changeante qui répond à l’alimentation du nourrisson… ». Les preuves suggèrent que l’état de santé de la mère et de l’enfant influence le contenu cellulaire du lait maternel, suggérant une liaison immunologique entre les mères et leurs nourrissons allaités au sein.
En gros, le lait maternel change aussi si l’enfant allaité est malade. Un résultat confirmé par Mme Smothers, dont son expérience a fait le tour du web. Cette maman, de l’Arkansas en Amérique, a extrait son lait jeudi soir comme d’habitude, avant de mettre son bébé au lit avec son biberon au lait maternel. Entre temps, elle avait remarqué que son enfant devenait congestionnée, irritable et avait beaucoup d’éternuements. La nouvelle maman a attribué ces symptômes à un froid et a continué à allaiter son bébé le jour comme la nuit.